Naissance d’Aleksei à l’hôpital central de Samara, unique fils du couple formé par Erika et Sergei Pachkov. Accouchement difficile pour la mère en pleine tempête de neige, il n’y a même plus d’électricité dans le bâtiment.  

Sa mère et son père se séparent, Erika n’arrivant plus à supporter le comportement violent et totalitaire de son mari. Ils n’ont jamais vraiment divorcé cependant, la procédure prit fin à la mort d’Erika, les deux individus n’arrivant à aucun accord de principe entre eux. Cela fut un choc pour le tout jeune garçon de l’époque, surtout que son père arriva à obtenir la garde privilégiée de son fils en faisant jouer ses relations.

Garçon particulièrement bagarreur et virulent, conséquence directe de l’éducation de son géniteur, il faillit plusieurs fois se faire renvoyer de l’école à cause de son comportement. Sergei l’inscrit à des cours d’arts martiaux pour lui apprendre à canaliser toute cette violence pour qu’il puisse l’user à bon escients.

Aleksei fit la connaissance de Tamara qui est la nouvelle compagne de son père. Bien que leur relation demeure froide au départ, il finit par l’accepter, surtout parce qu’elle n’essaiera pas de s’imposer comme sa mère et qu’elle ne cherchera pas à la remplacer. Elle était traductrice, le garçon se montra curieux et Tamara commença à lui enseigner plusieurs langues.

Son parcours scolaire était loin d’être exemplaire, ce qui lui valut quelques raclées par son père ceci-dit en passant. Ses résultants sont plus que moyens, à part dans les activités sportives où il excella. Il participa à plusieurs compétitions dans les arts martiaux qu’il pratique et arriva à s’illustrer à de multiples reprises, il devint un jeune espoir dans cette discipline pour son pays.

Sujet parfait pour la propagande et par l’endoctrinement de son père, il s’engagea à l’âge de 17 ans dans les forces armées de la Fédération de Russie. Il fut remarqué pour ses compétences physiques et par sa maîtrise du tir, son père l'a initié assez jeune dans ce domaine. Ses supérieurs remarquèrent une soif débordante d’ambition et d’adrénaline, un facteur qu’ils arrivèrent à canaliser pour qu’il donne le meilleur de lui-même.

Malgré son jeune âge, mais grâce à des recommandations de plusieurs officiers qui l’ont commandés, Aleksei a intégré la formation pour devenir spetsnaz et suite à un long entrainement, il le devint. Il a vraiment tout donné pour être pris, cela ne fut guère évident, il fut le plus jeune « stagiaire » à avoir accéder à cette unité d’élite jusqu’à présent.

Son unité fut envoyée en Afrique pour opérer derrière les lignes ennemis, alors que l’Union Européenne semblait vouloir mettre la main sur les ressources de l’Ancien Continent. Leurs principales missions consistèrent à la destruction de dépôts de ressources précieuses, ainsi que l’élimination d’officiers supérieurs chez l’ennemi. Des missions qui remportèrent quelques francs succès.

Son unité fut mobilisée sur le front chinois. L’ennemi se montra particulièrement tenace et ne leur concéda que peu de terrain. Fort heureusement pour eux, les spetsnaz ont l’habitude d’évoluer en territoire hostile et sans soutien. Ils devinrent une véritable plaie pour l’ennemi en rompant leurs lignes de communication et de ravitaillement, en attaquant les avant-postes de nuit en usant des techniques d’assaut rapide. Le but étant de ne leur laisser aucuns répits.

Aleksei a su évoluer au sein de la hiérarchie en montrant ses capacités et était un bon leader, il commanda même sa propre unité . Lui et ses hommes furent envoyés en Europe de l’Est, l’Union Européenne ayant décidé de déclarer la guerre à leur glorieuse patrie.  Les combats étaient véritablement des scènes qui semblèrent tirés de l’Enfer de Dante. Les pertes humaines furent colossales,  le lieutenant perdit de nombreux gars bien dans son unité. Ils se confrontèrent à quelques reprises à des unités spéciales de l’Union Européenne, ces enfoirés étaient des putains de dur à cuire. La victoire dut être concédée à leur ennemi avec la prise de Moscou.

Il ne sait plus à quoi se raccrocher. Peu après la fin des combats, il a appris la mort de sa mère, Erika, les circonstances de son décès lui sont inconnues. Son unité a été démantelé par l’Union, sa vie ne semble plus à voir de sens. Des agents des services secrets « pro-russes » vinrent le trouver pour qu’il contribue à une mission, une longue mission, il n’en verra peut-être pas le bout de son vivant, mais on lui assura que cela contribuera à redonner à la Russie sa puissance d’autrefois ! Il accepta donc. On lui donna une fausse identité, il fut envoyé à Europolis pour intégrer l’école de police, il dut se brider pour ne pas dévoiler tout son potentiel, on l’aurait suspecté.

En démontrant son potentiel, il réussit à intégrer les forces spéciales de la police d’Europolis. Une situation qui lui plait énormément et qui lui permet de laisser libre cours à une partie de ses pulsions et renouer partiellement à son passé au sein des Spetsnaz.

Les années passent et ne ressemblent pas. Le dénommé Iwan continue à jouer son rôle sans que personne ne semble le suspecter, prêt à tout pour gravir les échelons de la hiérarchie, il commence à se faire une bonne réputation au sein des forces de police et sa propre unité est renommé pour ses multiples coups d’éclat, bien qu’elle traîne quelques casseroles, comme le fait de ne pas y aller de maints mortes lors des opérations.

Salut ! Moi c'est Florian mais appelez moi Bob’. J'ai connu le forum via harcelé par torben, menacé par Sacha et soudoyé par Fallon *pan* et je pense que l’univers créé est génial, j’ai hâte de jouer dessus !.
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Le 20 février 2015, Aleksei est né à l’hôpital central de Samara, une des plus grandes villes de la Fédération de Russie. Une violente tempête de neige frappa la capitale de l’oblast cette nuit-là, si puissante que le quartier, où était situé l’hôpital, se retrouva privé d’électricité, plongé dans l’obscurité. Les générateurs de secours peinaient à prendre le relais, le manque d’investissement se faisait cruellement ressentir. Et plus particulièrement pour Erika, qui dut mettre au monde son fils dans ces conditions et se fut particulièrement difficile pour elle, un événement qu’elle n’oublia jamais. Son mari, Sergei n’était pas là pour la soutenir dans cette épreuve, il était retenu par ses responsabilités à des centaines de kilomètres de là et malgré l’occasion, il n’avait pas pu se libérer ou peut-être n’avait-il même pas cherché à le faire. Ce bébé fut le premier enfant du couple et il sera le seul en réalité.

Son père se nommait Sergei Pachkov, un gradé dans les forces armées de la Fédération de Russie qui gravissait les échelons à la vitesse de l’éclair. Quant à sa mère, elle se nommait Erika, une infirmière en bloc opératoire. Aleksei ne sut jamais comment ces deux individus s’étaient rencontrés et surtout qu’est-ce qui les avaient amené à se marier. Il ne le sut jamais et ne réussit jamais à démêler le vrai du faux dans les versions de ses parents. Ils ne semblaient rien avoir en commun, et si on ne les connaissait pas, jamais on aurait pu deviner qu’ils étaient mari et femme. Ils étaient assez distants l’un de l’autre, et quand ils étaient ensemble, en privé, il arrivait assez régulièrement, dirons-nous, que Sergei se montre totalitaire. Il aimait dicter la conduite que sa femme et son entourage devaient adopter, tout devait se passer à  sa manière.

Cependant, Erika était une femme fière et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Ce qui déplaisait à Sergei qui n’hésitait pas à user de violence lorsqu’il l’estimait nécessaire afin d’asseoir son autorité. L’infirmière encaissa ce traitement, pour Aleksei et uniquement pour lui, pas pour ce qu’il y avait pu avoir un jour entre elle et Sergei. Le militaire était régulièrement absent, c’est donc elle qui s’occupait en majeure partie de leur fils, elle dut même passer à mi-temps pour être certain de lui accorder un maximum d’attention. Elle était cet élan de douceur dans un monde que Sergei voulait emplir de rigueur et de violence.  Malgré son attachement et l’amour qu’elle portait à son fils, cela ne fut guère suffisant. Si bien qu’une fois de plus, une fois de trop, un acte qui devrait même jamais arriver à la base, lorsque Sergei porta une nouvelle fois la main sur sa femme, cela en fut de trop pour elle.

L’infirmière ne voulait plus vivre cette vie et elle lança une procédure de divorce afin d’officialiser cette rupture. Mais surtout pour essayer d’éloigner Aleksei le plus loin possible des griffes de son père. Mais cela fut peine perdue, le verdict de divorce ne fut jamais prononcé, Sergei embaucha de bien trop bons avocats pour défendre ce cas, et les avocats des deux partis s’entre-déchirèrent. Ils se retrouvèrent dans une impasse administrative, aucun accord de principe ne fut trouvé, Erika et Sergei se séparèrent bel et bien, sans pour autant perdre leur statut de mari et femme sur le papier. L’épreuve fut particulièrement difficile pour le jeune garçon, il était trop jeune pour vraiment comprendre ce qui se passait, cependant il était pris entre deux feux. Et on essayait de minimiser les faits en sa présence, pour ne pas lui faire peur et de le rassurer.

Sa mère fit son possible pour garder son fils hors de portée de tous ces événements, cependant Sergei avait de nombreux contacts. Et après de nombreux coups de téléphone, il fit jouer ses soutiens afin d’obtenir la garde de son fils, bien qu’il dut concéder à Erika de pouvoir avoir Aleksei pendant un week-end de temps en temps. Mais voilà tout. Un déchirement pour l’infirmière qui avait perdue cette bataille, elle ne put qu’accepter la décision. Le militaire n’eut pas d’autres choix que de s’occuper davantage de son fils, il lui consacra presque tout son temps libre en dehors de son temps de travail. Cela ne voulait pas dire qu’il s’occupait bien de lui cependant, il restait extrêmement dur et brusque. En réalité, il souhaitait en faire à l’avenir un homme qui arriverait à se faire une place dans le monde dans lequel il allait devoir évoluer, pour pouvoir être certain également qu’il serait un « atout » pour la Russie.

Cette éducation que Sergei lui donna, cela eut des répercussions directes sur son comportement dans la vie de tous les jours, comme à l’école. Enfant bagarreur, il arriva à plusieurs reprises qu’il se batte avec des camarades de classe. Il échappa de peu à l’exclusion, son père promit simplement qu’il arriverait à apprendre le sang-froid à son fils. Pour cela, il n’eut pas de meilleure idée que de l’inscrire à des cours d’arts martiaux. Une façon pour lui de canaliser toute la violence qu’il avait en lui pour la délivrer le moment voulu, la canaliser et l’utiliser à souhait. Cela demanda du temps et beaucoup de pratique, il se prit de nombreux mauvais coups, mais on va dire que cela contribua à le forger et à le calmer également, cela eut des effets positifs sur le long terme. Il n’eut alors de cesse de s’entraîner pour progresser le plus rapidement possible.

Les années passèrent et ne se ressemblèrent pas. Alors Sergei continua à accroître son influence sur Aleksei, ce dernier continuait à revoir sa mère de façon irrégulière. Elle était cet élan de douceur dans sa vie, elle arrivait à le calmer, à l’adoucir, elle souhaitait vraiment qu’il soit quelqu’un de bien. Malheureusement, au fond d’elle, elle savait qu’elle n’y arriverait pas. Erika ne l’avait pas assez longtemps et assez souvent pour le changer, cependant elle aimait son enfant plus que toute autre chose. Une nouvelle femme rentra dans sa vie, il s’agissait de Tamara. Elle était  la nouvelle compagne de son père, sa maîtresse plutôt, vu qu’Erika et lui étaient toujours officiellement mariés sur le papier. La relation entre la jeune femme et le garçon demeura froide, ce dernier craignit qu’elle cherche à prendre la place de sa mère, personne n’y arriverait, elle était irremplaçable à ses yeux. Mais il n’en fut rien et elle ne tenta pas de s’imposer comme sa nouvelle mère.

Tamara était traductrice, les deux individus font finalement connaissance et au fil du temps, ils arrivent tout de même à se supporter. Elle commence même à lui apprendre plusieurs langues, ce qui lui sera très utile pour plus tard, aussi bien dans ses études que dans sa vie personnelle. Parlons-en des études… On va dire qu’Aleksei n’est pas premier de classe pour faire simple, ses résultats restent très moyens. Il pourrait tellement faire mieux, mais c’est parce qu’il ne veut pas se donner les moyens de réussir, cela ne l’intéresse pas. On peut dire que son père ne voyait pas cela du même œil et se montra particulièrement brusque pour essayer de « motiver » son fils, dirons-nous. Le petit gars était par contre le premier de sa classe en ce qui concerne les activités sportives, il excellait dans ce domaine.  Il enchaîne les compétitions dans les arts martiaux qu’il pratique, il adore cela, la compétition, se dépasser pour surpasser autrui, tout donner ce que l’on a pour l’emporter. Il s’illustre dans ce domaine et est même considéré comme un jeune espoir dans cette discipline.

Malgré le fait qu’il aurait pu faire carrière en tant que compétiteur sans trop de problème, victime de l’endoctrinement de son père et de la propagande du régime, il s’engage dans les forces armées de la Fédération de Russie. Les instructeurs le remarquent tout de suite pour ses capacités physiques, mais également pour sa maîtrise du tir, son père fit en sorte de l’initier assez jeune à cet exercice, comme si il savait qu’il allait finir ici, comme il l’avait prévu en réalité. Ils constatent également une véritable soif d’adrénaline, cela ne le dérange pas de se mettre en danger et se retrouvait dans des situations dangereuses, au contraire cela le stimulait. Son ambition tapa dans l’œil de ses formateurs, ils firent levier sur ces deux facteurs pour en faire un bon soldat et afin qu’il progresse rapidement. Après ses classes, il fut affecté à plusieurs missions sous les ordres d’officiers différents, principalement pour calmer des révoltes ethniques. Il fut jugé comme un soldat très loyal et d’une efficacité exemplaire.

Après quelques années de service, il en voulait toujours plus et avait toujours besoin de sa dose d’adrénaline, cela le guida vers une unité d’élite : les spetsnaz. Une unité des forces spéciales connue dans le monde entier pour son efficacité et également pour ses méthodes peu orthodoxes. Après avoir cumulé plusieurs recommandations d’officiers et réalisé plusieurs tests, il intégra le stage pour intégrer cette unité. Une très longue session d’entrainement s’en suivit, de nombreux participants jetèrent l’éponge, car ils n’avaient pas la force d’esprit pour continuer, bien que le corps ait ses limites, certains abandonnèrent lorsque le physique ne suivait plus. Ils durent apprendre à travailler aussi bien en équipe, qu’en solitaire, dans des environnements aussi bien urbains, qu’environnementaux, dans les toundras de Sibérie, dans des forêts tropicales ou des déserts arides. Ils devaient être des as, capables d’opérer derrière les lignes ennemies, de devenir de véritables plaies pour les pays qu’ils infiltraient, mais également à être des fantômes lorsque la situation l’exigeait.

A la fin, Aleksei en sortit véritablement renforcé, il n’oublia jamais tout ce qu’il apprit pendant cette formation. Il fut le plus jeune « stagiaire » à avoir réussi cet entrainement jusqu’à présent. Il reçut son affectation à une escouade, de nombreuses simulations furent organisées pour renforcer leur cohésion d’équipe. Pour leur première véritable mission, ils furent envoyés en Afrique en Octobre 2035. L’Union Européenne enviait les richesses de l’Ancien Continent, les européens n’avaient jamais cessés de se montrer envieux sur ces territoires, et ils montraient à nouveau qu’ils n’oubliaient en rien leurs anciennes colonies et ce que celles-ci leur rapportaient. La mission de son unité était de détruire des entrepôts de matériaux, la plupart contenait des ressources précieuses qui ne devaient pas tomber entre les mains des Européens. Ils n’étaient pas en guerre, mais la Russie voyait d’un très mauvais œil l’arrivée de ses voisins occidentaux là-bas, sachant pertinemment que lorsqu’ils se seraient suffisamment renforcés, leur regard se détournerait vers l’Est, vers leur glorieuse patrie !

L’opération s’éternisa, ils eurent le droit à quelques rares ravitaillements, mais ils se débrouillèrent par leurs propres moyens pour pouvoir survivre dans ce milieu hostile, ils avaient été formés pour cela après tout. Les missions de destruction continuèrent, ils sabotèrent à quelques reprises des installations de l’armée de l’Union, entraînèrent des insurgés locaux pour qu’ils deviennent une épine dans le pied de l’ennemi et assassinèrent plusieurs hauts gradés de l’armée adverse sur place. Leurs missions étaient emplies de succès la plupart du temps, mais cela ne suffit pas, l’Union arriva à s’imposer sur ce continent. Leurs actions perdurèrent un certain temps, jusqu’à ce qu’ils soient démobilisés sur un autre front, ils gouttèrent alors à de véritables scènes de guerre, le front Chinois. Les deux géants de l’Est étaient rentrés en conflit et il était hors de question que les russes soient défaits par leurs voisins. L’unité d’Aleksei fut envoyée en avant des forces principales pour saboter les défenses adverses, couper leurs lignes de communication et de ravitaillement, ainsi que pour mener des attaques éclairs contre des avant-postes de l’ennemi.

Les chinois ne lâchèrent rien, ils se montrèrent particulièrement tenaces, mais les russes l’étaient autant et les unités spéciales durent user de tout leur potentiel pour devenir une véritable gangrène au sein du territoire ennemi. Pendant ces années-là, son unité réalisa de très nombreuses opérations pour les services secrets, pour se faire ils travaillèrent en collaboration avec une femme qui lui était alors inconnue, Neveah Kant. Cette dernière travaillait pour la Russie et ils coopérèrent à plusieurs reprises, Aleksei arriva même à lui faire confiance sur la fin et respectait ses capacités, faisant en sorte de la sortir vivante des opérations dans lesquels ils furent embarqués. Cependant, elle fut capturée par les chinois, et les services secrets voulurent sa perte pour être certain qu’elle ne parle pas.  Les ordres étaient les ordres, il était lieutenant désormais et commandait sa propre unité, il mit en branle ses soldats pour mener à bien la mission, bien que le cœur n’y était pas.

Ils débarquèrent à l’endroit où était détenu leur ancienne « coéquipière », mais ce fut un guet-apens, elle les avait vendu et en avait profité pour prendre la fuite lorsque l’endroit se transforma en véritable stand de tir. Plusieurs hommes de son unité rendirent leur dernier souffle, ils réussirent à s’en sortir, mais il promit de lui faire payer le prix de sa trahison un beau jour, pour venger ses hommes.  Ils furent remplacés bien entendu, le militaire fit perdurer leur souvenir pour qu’ils ne soient jamais oubliés.  Le conflit avec les chinois arriva à son terme, pourtant la guerre, elle, continuait, à l’Ouest. Les européens étaient officiellement entrés en guerre en 2040 contre leur glorieuse patrie, ils devaient leur démontrer l’erreur qu’ils avaient commis. Les spetsnaz furent d’abord envoyés en Europe de l’Est pour faire face à leurs adversaires. Les scènes de combat furent très violentes, elles montrèrent que l’Homme était capable du pire pour pouvoir survivre, mais surtout pour l’emporter.

Les pertes humaines sont colossales des deux côtés. A plusieurs occasions, ils se confrontent aux unités d’élite de l’Union, autant dire que ces enfoirés sont des durs à cuir, bien que leurs homologues russes ne comptent rien leur concéder. Cependant, ils sont forcés de reculer avec les forces de l’armée régulière lorsque les européens enfoncèrent leurs lignes. Après des années de conflit, à combattre aussi bien qu’on leur avait appris à se faire, la victoire ne fut pas au rendez-vous avec la prise de Moscou par l’ennemi. Ils étaient défaits, son unité fut bien-sûr démantelée, c’était une déchéance. Le fraîchement promu capitaine, avant la fin des hostilités, ne savait plus à quoi se rattacher,  surtout lorsqu’il apprit la mort de sa mère, Erika, ce fut le coup de grâce. La goutte d’eau qui fit déborder le vase. Il pensa en finir un beau jour, avec son arme de service, après avoir bien entamé une bouteille de vodka, ne trouvant plus de sens à sa vie.

Mais une lueur d’espoir lui parvint lorsque des personnes débarquèrent chez lui et s’identifièrent comme des agents des services secrets russes encore en activité et agissant en secret. Ils avaient besoin de lui pour effectuer une mission très spéciale, il n’en verrait certainement pas le bout de son vivant, mais il contribuait à redonner à leur glorieuse patrie sa puissance d’autrefois et surtout, à écraser leur ennemi Européen. Il y vit une cause à laquelle se rattacher, la seule qui ne le faisait pas commettre l’irréparable à vrai dire. On lui donna une fausse identité, une bonne histoire à raconter et les faux papiers qui allaient avec. Il se nommait dès à présent, Iwan Laska, un résistant polonais ayant fourni son soutien aux forces de l’Union contre les russes. Le fait qu’il soit originaire de Pologne dissimulerait les soupçons sur son accent, il savait parler plusieurs langues, et cela surtout grâce à l’aide de l’ancienne maîtresse de son père, Tamara.

Il fut alors envoyé à l’école de police d’Europolis, sa mission était de s’y infiltrer et de monter les rangs de la hiérarchie aussi vite qu’il le pouvait ; pouvant ainsi devenir un pion utile pour les russes le moment venu. Il se brida à l’école pour que ses capacités, bien supérieures à celles des autres personnes présentes, n’éveillent des soupçons sur son identité. Il se montra cependant assez compétent pour réussir l’école de police, bien que cela demanda du temps. Il était prêt à tout pour mener à bien sa mission, à tous les sacrifices. Au fil des années, il fit en sorte de s’illustrer davantage pendant son service  et il fut tout bien naturellement intéressé pour intégrer les forces spéciales de la police, cela lui rappellerait un peu ses belles années au sein des Spetsnaz, et il pouvait laisser libre cours également à une partie de ses pulsions en opération. Ce qu'il déteste par dessus tout dans cette ville, ce sont tous ces justiciers masqués qui se pensent au dessus de tout, il espère en choper un à jour pour lui "démontrer toute son amitié".

Très ambitieux et compétent, il gravit les échelons au fil des années jusqu’à atterrir au grade de lieutenant et commandait sa propre unité. C’est un bon début, mais ce n’est pas la fin, il sait qu’il lui reste encore énormément à faire. Pour le moment, le dénommé Iwan n’a pas été suspecté, du moins il n’en a pas l’impression, les services secrets de sa patrie prennent de temps à autre contact avec lui pour lui demander ses avancées. Le lieutenant possède une bonne réputation au sein des forces de police, son unité est reconnue pour son efficacité et ses missions emplies de succès, bien qu’elle utilise des méthodes parfois jugées peu orthodoxes. Il s’entend plutôt bien avec le commandant, disons qu’il est dans ses petits papiers, il fait en sorte d’être bien avec lui, avec l’ambition un jour de prendre sa place, y voyant juste un échelon en plus à grimper.

Ma célébrité

Code:

Tom Hardy <span class="Gp_Lost"> ♠ <a href="http://after-my-fate.forumsrpg.com/u112"><span class="Gp_Lost">Iwan Laska</span></a></span>

Mon métier officiel

Code:

Lieutenant des les forces d'intervention de la police <span class="Gp_Lost"> ♠ <a href="http://after-my-fate.forumsrpg.com/u112"><span class="Gp_Lost">Iwan Laska</span></a></span>

Mon métier officieux

Code:

Agent dormant des services secrets russes / Capitaine au sein des Spetsnaz <span class="Gp_Lost"> ♠ <a href="http://after-my-fate.forumsrpg.com/u112"><span class="Gp_Lost">Aleksei Pachkov</span></a></span>

Mon Alias

Code:

Aleksei Pachkov <span class="Gp_Lost"> ♠ <a href="http://after-my-fate.forumsrpg.com/u112"><span class="Gp_Lost">Iwan Laska</span></a></span> (<a href="Ne rien mettre ici. L ajout se fera par les modos du forum">Avis de recherche</a></span>

Mon Groupe

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<a href="http://after-my-fate.forumsrpg.com/u112"><span class="Gp_Lost">Iwan Laska</span></a></span>