Anastasiya Tolstoï

Anastasiya Aleksandrina

Tolstoï

« Tous les bonheurs se ressemblent, mais chaque infortune a sa physionomie particulière. »

Date de Naissance 26 septembre 2018
Ville et Pays de Naissance Saint-Pétersbourg, Russie
Groupe Freakshow
Capacité et Malus Régénération cellulaire fortement accrue | Profonde psychose maniaco-dépressive
Statut d’État Civil Célibataire
Métier officiel Ingénieur de renommée mondiale
Orientation Bisexuelle
Penchant Bon
Alias texte ici (s'il y a)
Métier officieux Inventeur pour Vampyr
Crimes déjà commis Vol, tortures et actes de barbarie, recel, espionnage industriel.
Est-ce que vous êtes déjà recherché? Non
Avatar Natalie Portman
Crédit Sarasvati

Bipolaire

Loyale

Secrète

Sarcastique

Joueuse • Obstinée

Insoumise

Attentive

Brisée

Intraitable

2018

Naissance au sein d'une grande famille aristocratique de Russie, le couple est à la tête d'une des plus puissantes mafias du pays. Unique enfant d'un couple soudée dans une paranoïa grandissante.

2022

Début de l'apprentissage de la danse classique et du comportement à tenir en société. Anastasiya passe énormément de temps à bricoler seule dans une pièce de la demeure familiale afin de fuir son père.

2024

Mort de sa mère en raison de la grippe, son père entre dans une schizophrénie de plus en plus profonde. Début d'un cloisonnement de la jeune fille qui se traduit par un isolement grandissant. Malgré tout son esprit fertile continue de s'intéresser à la création de différents mécanismes ou gadgets. Début des expérimentations sur sa personne. 6 mois plus tard elle développe une régénération cellulaire proprement hors du commun.

2036

La demoiselle a de brillantes notes à tous ses examens et réussie à entrer dans la classe préparatoire des hautes études d'ingénieur en Russie. En parallèles une forte dépression la prend et elle fait plusieurs tentatives de suicide, ce que sa capacité lui interdit.

2038

La troisième guerre mondiale voit l'embrassement de la Russie à son paroxysme. Quelques mois avant le début des affrontements elle parvient à s'exfiltrer de Russie grâce à des agents européens infiltrés qui veulent l'utiliser. Elle rencontrera Erwan qui la sauve de sa conduite auto-destructrice

Fin 2038

La demoiselle s'installe pour de bon en Europe, fondant les prémices d'une relation avec Erwan. L'adaptation est ardue mais elle est très bien traitée et protégée.

2039

Anastasiya commence à se faire connaître des milieux scientifiques car elle remporte le prix Norbert Ségard.

2040

Mort de son père dans une escarmouche à Saint-Pétersbourg. Elle devient alors immensément riche.

2044

Lauréate du prix Nobel de physique Anastasiya a du mal à trouver un sens à sa vie.

2046

Anastasiya est entièrement sous la coupe du gouvernement qui récupère toutes ses inventions.

Début 2047

Deuxième prix Nobel pour une contribution à la création de zone de purification d'air permettant à certaines zones de décontaminer les conséquences des retombées radioactives.

Fin 2047

Découverte d'une utilisation détournée de ses créations pour créer par le gouvernement ou les forces de police de méthodes de tortures et autres exactions. Mort d'Erwan. Cela la pousse à se retirer de ses activités officielles pour se couper quelque peu du monde et n'inventer que pour elle-même.

2049

Ne sachant que faire de tout son argent Anastasiya devient bienfaitrice de nombreuses œuvres de charité.

2050

Suite à une énième soirée mondaine elle s'enfonce dans les quartiers malfamés à la recherche de délinquants sur qui tester certaines inventions. Elle fera alors la rencontre de Torben Reiner qui la dérange dans son projet, après un instant de tension entre eux elle se voit proposer une bien curieuse association. Elle accepte à sa propre surprise, car il lui rappelle étrangement Erwan.

Derrière l'écran

Salut ! Moi c'est Marie mais appelez moi Meira. J'ai connu le forum via Torben ce fourbe ! et je pense que c'est un petit bijou ! Mais je ne sais pas si je saurais être bien cohérente xD.
Sur une échelle de présence de 1 à 7, je pense être présente 5/7.

Dernière édition par Anastasiya A. Tolstoï le Mar 11 Déc - 15:46, édité 9 fois

Anastasiya Aleksandrina

Tolstoï

Il ne faut écrire qu'au moment où à chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un morceau de ta chair reste dans l'encrier

Je ne sais pas pourquoi j'écris, mais ce n'est certes pas pour vous, lecteur. Je ne suis pas l'instar de mon illustre ancêtre, fin connaisseur de la nature humaine et qui par ses écrits a dépeint une époque, des existences emmêlées dans la tragédie d'une société sur le déclin sans réellement en avoir conscience.
Si j'écris c'est pour me soulager l'âme d'un poids, même si ce ne sera pas suffisant, j'en ai peur, car elle restera hanté par des souvenirs bien trop prenants pour espérer un quelconque soulagement de cet exercice scriptural. Vous devez déjà connaître mes travaux, je ne sais d'ailleurs quelle répercussion ils auront dans les années à venir, même si j'en ai déjà eu un dégoûtant aperçu. Je ne ferai pas d'excuses pour ce que j'ai donné au monde, car je ne suis pas responsable de l'utilisation qu'il en fait. C'est néanmoins cette diatribe que je me répète inlassablement pour pouvoir espérer dormir un peu lorsque la fatigue est trop grande. Il n'est pas nécessaire de s'étaler sur les détails techniques, car ce n'est pas pour cela que vous êtes là n'est-ce pas, sinon c'est sur mes écrits scientifiques que se porterait votre regard. Si ce sont mes motivations que vous cherchez, elles ne se résument qu'à un mot... Survivre, envers et contre tout, à n'importe quel prix. Tout du moins c'est ce que je croyais.

Je suis venue au monde un froid jour de septembre il y a de cela des années maintenant, dans ce qui était autrefois la capitale des tsars au sein d'un pays colossal, la Russie. Issue d'une lignée de haute aristocratie notre nom avait l'avantage de l'honorabilité, mais pour survivre dans le monde soviétique tel qu'il était à ce moment-là et faire perdurer une fortune déjà indécente, il n'y avait aucun moyen permettant à la conscience de s'en sortir intacte. Mon comte de père avait donc ajouté à son héritage noble une carrière de haut banditisme dans laquelle il savait s'épanouir. Pour lui rien n'existait d'utile au sein de ce monde si cela ne servait pas ses intérêts, ni sa propre subsistance. Quant ma mère, elle n'avait pas vraiment voix au chapitre, car dans ce monde d'or et d'ivoire, calfeutré de satin les plus grandes souffrances se voilent dans le silence. L'amour était présent, ou plutôt l'obsession de possessivité, car ce n'est que maintenant que tout ce que cette relation comportait de malsain m'apparaît clairement. Ils étaient mues par la certitude de l'antagonisme du monde à leur égard. Pour combattre cela ils faisaient donc front, unis au plus profond de leur être, mais maladivement atteint d'une paranoïa excessive. Mon père gardait jalousement ses joyaux, et nous ne faisions certainement pas exception. Ma mère ne travaillait pas, elle passa beaucoup de temps à m'entourer de l'amour que seule une mère peut apporter, sans se départir d'une grande sévérité quant à mon éducation qui se devait d'être à la hauteur de notre rang.

Je n'ai pas de qualificatifs à mettre à cet environnement familial, il pourra vous sembler des plus néfastes au développement sain d'un enfant innocent, mais c'était le mien rien de plus. J'étais chérie, choyée, car je devais être la continuité du nom de notre famille, la perpétuité du sang, une certaine manière pour mon père d'atteindre une immortalité idéologique plutôt que physique. Je pense qu'il m'aimait, à sa façon affreusement égoïste.
J'ai donc grandi dans l'opulence la plus outrageante, surtout dans des temps troublés par les catastrophes qui réduisaient de nombreux pays à des troubles innommables et des familles à une pauvreté extrême. Mon enfance était préservée, comme dans les tours des princesses de conte, je ne pouvais voir les réalités d'une vie qui m'était trop éloignée. Cependant, je comprenais bien que ce qui se passait au dehors faisait la joie et la prospérité des affaires de mon père. Il n'était pas rare de voir un ou plusieurs êtres attachés dans un coin de son bureau, encadré soigneusement par deux gorilles pour plus de précautions, le visage en sang et gémissant de peur. Je croisais ces pâles reflets d'humanité parfois, cela faisait tellement partie de mon quotidien que j'eus bien vite oublié les questions qui me poussaient à découvrir ce qu'ils avaient bien pu faire de mal. Mon père me répétait sans cesse lorsqu'il me prenait l'idée de lui partager ces questionnements, qu'il ne s'agissait que d'êtres n'ayant pas su se prémunir des dangers de l'existence, que je ne devais en aucun cas prendre pitié de ces inférieurs. Selon lui nous étions de ceux qui
survivraient, qui sauraient s'adapter aux changements à venir.
Je ne sais quelle part il prit dans les évènements postérieurs à mon enfance et dans le déclenchement de la troisième guerre mondiale dont beaucoup imputent le départ à la Russie, certainement quelque chose de décisif vu son influence.

Voilà pour ce qui est du contexte dans lequel je passais mon enfance. Vous vous en doutez je reçus une excellente éducation, comportant des précepteurs très coûteux pour toutes les matières classiques, un apprentissage renforcé de la danse classique qui selon ma mère devait me donner la grâce et la discipline que toute femme se doit de s'infliger, mais également quelques temps libres me permettant de m'adonner à ma réelle passion, l'invention. Frêle enfant que j'étais mon père m'effrayais, certes vous devez vous douter du naturel de la chose, mais pour moi c'était un sentiment confus, comme un instinct de survie me criant de m'éloigner de cet individu qui puait la folie et la mégalomanie. Mais ces mots ne veulent rien dire pour une enfant, je ne parlais donc pas de ces sentiments, je n'évoque d'ailleurs que rarement ceux-ci tant je doute parfois d'en ressentir. C'est dans la création de divers gadgets, seule dans un des ateliers que comportait notre immense demeure pour toute sorte de menus travaux que je m'épanouissais. Cela avait démarré par de simples figurines en trombones, puis par des constructions plus complexes comme un petit véhicule propulsé par une clé à remonter. Mes parents désapprouvaient ce passe-temps bien inutile à leurs yeux et se montraient même irrités de la moindre fierté que je pouvais exprimer à ce sujet, néanmoins sur ce point ils n'ont jamais restreint ma liberté.

Ce fut au décès de ma mère que les choses se durcirent. J'avais six ans alors, je compris bien vite que la grippe qu'elle venait d'attraper n'était pas une maladie bénigne. Son trépas ne fut pas long à venir et au-delà du chagrin immense que sa perte suscita, c'est une colère non moins grande qui prit place dans mon cœur car je sentais bien que mon père n'avait nul chagrin d'avoir perdu son épouse, mais à la place il semblait surtout affligé de s'être fait ravir une si belle femme avant qu'elle ne lui donne un autre héritier.
C'est surtout sa folie qui s'intensifia et avec elle son besoin d'isolement. Je n'étais plus autorisée à sortir qu'en de rares occasions. Je me devais d'être à ses côtés presque en permanence, sauf lorsque des affaires liées toujours à la pègre le retenaient loin. C'est à cette époque que ses obsessions gravirent un échelon, car presque de façon prophétique il était hanté par l'arrivée prochaine d'une guerre qui selon lui, ne manquerait pas d'éclater de façon mondiale. Cela se concrétiserait dans ses délires par un véritable carnage nucléaire qu'il allait nous falloir traverser, car l'objectif était de vivre et à n'importe quel prix, là était son unique priorité. C'est alors qu'il me confia souvent aux bons soins d'un docteur, ou tout du moins il me l'avait présenté comme tel. Je n'ai plus souvenir de toutes les candides explications que cet homme à l'aspect affable m'avait susurré pour justifier ses coupables actions. La vérité derrière tout cela je ne l'ai deviné qu'à posteriori. Toutes ces injections, ces prises de médicaments, ces bains froids ou ces séances de petites tortures épidermiques n'avaient comme unique but que de me préparer à une prochaine étape de l'évolution humaine, celle où il me faudrait survivre aux retombées nucléaires. Je ne sais pas si j'ai été seule à subir cette expérience traumatique, toujours est-il que je n'ai ensuite plus jamais été la même, la moindre blessure que je pouvais me faire, volontairement ou accidentellement se refermait comme par magie au bout de quelques instants. Pour les plus profondes bien sûr quelques heures étaient parfois nécessaires, mais jamais elles ne remplirent l'usage mortelle qu'elles auraient pu avoir en tant normal.

J'ai fini par grandir, j'ai effectué chaque scolarité avec brio, continuant mes bricolages pour me sortir d'un quotidien qui m'étouffait. Les excellents résultats ne suffisaient cependant pas à me prouver ma valeur, de façon pernicieuse au fur et à mesure des années mon esprit s'amusait à me confondre entre grande dépression et moments de joie absolue. A 18 ans je réussis à rejoindre la plus prestigieuse école de Russie, permettant de hautes études d'ingénieur, selon mon rêve. Mais l'emprise paternelle se faisait si forte que je ne pouvais que rarement respirer. La souffrance dépressive, dans les plus douloureuses phases, m'amenait à vouloir en finir, j'ai tenté bien des manières différentes, mais rien qui ait trouvé grâce aux yeux de la mort pour qu'elle daigne m'accepter. Cette capacité unique de régénération qui devait selon mon père, me permettre de m'élever au-dessus de tous n'était qu'une prison vicieuse.

J'ai néanmoins aux yeux des autres poursuivit une brillante lancée, tout me réussissait. Petit oiseau protégé dans sa cage dorée je n'avais pas vu avec clarté la situation désastreuse de ma nation qui s'avançait au-devant d'une nouvelle guerre, j'étais aveugle aux détresses de nombre de peuples et de familles. Mais c'est au sein de mon université que j'ai rencontré Erwan. Dire que je l'ai aimé tout de suite serait un mensonge. Je n'étais qu'une riche écervelée imbue d'elle-même en apparence, tout en se détestant intérieurement. Il a su voir au-delà de ma carapace, se frayer un chemin jusqu'à ce que je n'accorde ma confiance qu'à lui. Il était un jeune agent infiltré européen. J'ai fini par moi aussi adhérer à sa vision idéaliste d'un monde pouvant être sauvé par les efforts de tous. J'ai donc choisi de le suivre, de mettre mes talents et mon si brillant esprit au service de son pays plutôt que le mien que je savais si corrompu.

Deux ans après ma majorité je quittais donc définitivement mon père et son aura malsaine. Sans un mot, sans un adieu, sans qu'il ne comprenne je pense réellement la profondeur de ma trahison. Il a cherché à me retrouver, à me ramener auprès de lui, mais les services gouvernementaux européens ont toujours réussi à me préserver, et à jalousement conserver leur monopole sur mes créations. Mon père décèdera deux ans après ma fuite, dans un affrontement généré par cette guerre qu'il avait probablement contribué à initier. Je n'ai jamais repris contact avec lui, et ne l'ai jamais véritablement regretté.

L'arrivée en Europe fut une véritable perte de repères pour moi, Erwan restant mon seul pilier, ma seule connaissance et point d'ancrage, il était le dernier lien qui existait entre mon passé russe et ma nouvelle vie dans ces contrées étrangères. L'intégration administrative n'était qu'une formalité, car le gouvernement unifié posait de grands espoirs sur ces cerveaux qu'il débauchait dans de nombreuses autres nations. Bien vite je pus bénéficier de subventions pour mes études et mes recherches. Les débuts furent compliqués en raison de mes tendances dépressives et maniaques à canaliser, je n'ai malgré tout jamais désiré consulter de professionnels psychiatriques ni voulu de traitements pour ce qui est considéré comme des troubles bipolaires.

Le reste de ma vie appartient à la postérité je pense. Après mon arrivée en Europe j'ai remportée le prix Norbert Ségard qui a attiré sur moi les regards de la communauté scientifique mondiale, il faut dire que j'avais travaillé dur sur ce projet de filtration hydraulique pour transposer les cultures hydroponiques à une échelle industrielle. Puis vint le prix Nobel, consécration précieuse dans la vie d'un scientifique. En effet j'avais réussie à développer des zones de confinement permettant une épuration des retombées radioactives.

Ce que peu de personnes savent par contre c'est qu'en parallèles ma relation avec Erwan tout ce temps avait évolué. Il était passé de guide spirituelle à amant, puis à compagnon. Il avait réussi à s'inscrire dans mon cœur avec une telle force que je ne me voyais absolument plus comme une individualité, cela en était parfois extrêmement douloureux et glissait vers l'obsession. Cependant, cela nous convenait et pendant quelques années nous avons connu un bonheur qui n'appartenait qu'à nous.

C'était néanmoins avant que je tombe sur le mauvais fichier, sur son ordinateur qu'il avait oublié d'éteindre. La cryptographie m'avait intriguée et j'avais alors demandé à une connaissance de mettre tout cela au clair. J'ai alors découvert qu'il m'espionnait, autrefois pour le gouvernement selon ses archives, à présent pour dénoncer tout ce que les têtes dirigeantes d'Europolis avaient fait de mes inventions. Ce fut un choc dont je ne pus presque pas me relever. Des tortures sans nom étaient nées des mécanismes que j'avais inventé pour sauver l'humanité.

La confrontation avec Erwan ne put malheureusement pas avoir lieu, car il fut arrêté à peine quelques jours après que j'eus découvert tout cela. Il m'avait trahi, mais je l'aimais plus que tout, je sais pourtant au fond de moi qu'il n'est désormais plus de ce monde, il en savait bien trop. Officiellement il a été porté disparu, mort dans l'honneur d'un service effectué pour la nation. Mais moi je sais que c'est ce gouvernement auquel il croyait autrefois qui l'a exécuté froidement.

Mon seul pilier mort c'est dans la solitude que je me réfugiais, vers des scarifications qui ne m'offraient le délice d'une douleur que de façon bien trop éphémère. Je me suis coupée du monde, des réminiscences me parvenaient parfois, mais je n'étais plus étonnée de savoir ce que le gouvernement pouvait ou non faire à sa population, surtout à ses soldats, je me demandais d'ailleurs s'ils n'avaient pas réutilisés certaines substances que j'avais connue dans ma jeunesse. J'entendis également parler de ce Vampyr, cet homme masqué qui voulait croire que la justice demeurait encore.
Sans trop savoir pourquoi il m'a inspiré quelques procédés intéressants, dont une thermorégulation permettant un fort dégagement de chaleur, ce qui est bien pratique pour faire fondre de petites quantités de matières peu résistantes comme du tissus ou les semelles de chaussures, collant ainsi l'individu à la surface voulue.

Mais il est mort, l'idéalisme ne vit jamais longtemps malheureusement. Ou tout du moins c'est ce que je me suis dit. De nombreuses théories du complot crient à sa survie, je ne m'en occupais pas vraiment. Pourtant, je vais vous révéler peut être l'un de mes plus grands secrets, j'ai fini par me mettre au service de ce qu'il représentait. Je me pensais vacciner de ces élans justiciers, moi qui n'ai jamais vraiment connu de situation équitable dans ma vie. C'est avec une certaine folie que je me suis mise en quête un soir de quelques menues crapules pour tester quelques inventions, et que je suis tombée sur Torben Reiner, intrigué par mes petits gadgets il m'a fait une étranger proposition d'association pour combattre tous le mal qui gangrène cette ville. Je ne sais ce qui m'a poussé à accepter son insolite proposition de partenariat, peut être cette flamme dans ses yeux... La même qu'Erwan, il lui ressemble tellement. J'ai peut être besoin de me raccrocher à quelqu'un, je ne saurais dire. Tout ce que je peux dire c'est qu'il m'obsède, je me pose des centaines de questions à son égard et je ne pourrais assouvir cette curiosité qu'en le côtoyant. Me voilà donc devenue une femme de l'ombre, mais pas une vulgaire assistante qu'on se le dise.

Codes de validation

Ma célébrité

Code:: Natalie Portman ♥ <a href="u107">Anastasiya A. Tolstoï</a>

Mon métier officiel

Code:: Ingénieur ♥ <a href="u107">Anastasiya A. Tolstoï</a>

Mon métier officieux

Code:: Inventeur pour Vampyr ♥ <a href="u107"></a>

Mon Alias

Code:: ♥ <a href="u107">Anastasiya A. Tolstoï</a> (<a href="Ne rien mettre ici. L ajout se fera par les modos du forum">Avis de recherche</a>

Mon Groupe

Code:: <a href="u107">Anastasiya A. Tolstoï</a>

Dernière édition par Anastasiya A. Tolstoï le Mar 11 Déc - 15:41, édité 5 fois

Bienvenue officiellement par ici !

Bienvenue parmi nouuuus :biere:

Welcome here !

Hâte de voir ce que tu nous prépares pour cette fabuleuse inventrice !

Hey !!
Bienvenue !!
Hâte de lire ton histoire Very Happy

Merci beaucoup à vous =D !

Je pense que ma fiche est terminée ! :p

DES GENS COOOOOOLLLLLLS JE T'AIME DÉJÀ !!!!

Bienvenue parmi nous !

Bienvenue !

Me voilà donc, je ne sais pas si tu as terminé mais ça y ressemble!

Quelques petits détails:
- Je te demanderais une bonne relecture, tu as quelques coquilles dans ton texte; rien de grave mais comme ça il sera parfait!
- Le fait que tu deviennes transfuge pro-européenne mériterait d'apparaître plus clairement dans ta chrono Smile

- Tu ne peux pas encore savoir que Vampyr est une version "2"; les rumeurs sur sa survie étaient après tout persistantes après sa mort supposée face à la pègre, même si le folklore urbain se délecte de rumeurs et de complots Smile

Bienvenue beauté fatale What a Face

Bon courage pour tes petites modifs et bon jeu parmi nous Anastasiya Tolstoï | I am the shadow on the moon at night 805311031

Merci à tous pour ces mots d'accueil <3 !

Alors mon cher Totor je pense avec tout modifié ^^ J'ai rajouté quelques tournures de phrases plus adéquates, rectifiés les points évoqués.

Donc je pense que c'est bon mais à toi de me dire x) !

Pour moi c'est bon en dehors d'un dernier détail sur lequel je me suis mal exprimé; ce n'est pas tant "Vampyr" que tu rencontres, si à la fin de la soirée c'était Torben qui est intervenu, tu le connais lui. Si on part sur une rencontre "hasardeuse", alors tu ne connais que Vampyr, mais il n'aurait pas dévoilé sa double identité. C'est avec ta chrono qu'on a l'impression que tu connais les deux mais dans un premier temps c'est plus logique que t'en connaisses qu'un Smile

Ah !!! Ben fallait le dire j'avais pas compris ça comme ça xD !

Voilà j'ai modifié sur une rencontre avec Torben uniquement :p

Tu veux brûler les étapes! Reste dans ta chrono que tu parles de vampyr Smile

Et voilà cette fois ça devrait être bon ! =D

Félicitations!

Tu es validé(e)
!

Pfiou, tu l'as finie, ta fiche, et c'était top!

Maintenant, tu peux te lancer dans le jeu. Pour le faire dans de bonnes conditions, nous te recommandons de suivre ces quelques liens:

Si tu commences le jeu en étant recherché, tu peux personnaliser ton avis de recherche !
Tu peux personnaliser ton profil avec un rang .
Si tu as déjà contacté des membres ou vu avec ceux-ci avant ta validation pour rejoindre un groupe , tu peux poster dans ce sujet pour nous le signaler.
Si tu veux proposer des pré-liens et scénarios liés à ton personnage, tu peux le faire dans ce sujet.
N'oublie pas aussi de faire un tour du côté des animations du forum , notamment la mission votes!

Pour vous intégrer pour de bon au forum, rien de plus facile! Vous avez plusieurs canaux à utiliser pour cela:
Les demandes de liens vous permettront de vite trouver des potes et des ennemis!
Les demandes de rp sont là pour vous permettre de trouver des partenaires de jeu et vous lancer dans quelques sujets pas piqués des hannetons !
Les téléphones et réseaux sociaux vous permettent de garder le contact, en jeu mais en dehors de rp, avec vos différents liens !
Enfin, si vous souhaitez développer des pans de votre histoire que vous n'avez pu intégrer à votre fiche ou développer en jeu, vous pouvez le faire dans votre futur journal intime.

Enfin, si tu as des questions, tu peux nous faire un mp ou bien nous contacter dans la section appropriée , on se fera un plaisir de te répondre!

Bon jeu, amigo !

Pour ton pouvoir, j'aurais bien mis un dé d'action à chaque tour quand tu essaies de te régénérer, soit ça marche et tu regagnes 1pt de baston, soit ça échoue et tu ne regagnes pas de suite la santé.

Pour la psychose, quelle conséquence concrète tu voyais en jeu?

Très bien cela me va tout à fait !

Alors le malus, cela génère surtout une phase soit de manie ou de dépression. Cela peut être aussi sur un dé.

Phase maniaque => Concentration accrue sur un seul élément ou action et oblitération de tout autre élément environnemental autour d'Anya. De plus la demoiselle n'a plus ni conscience du danger ni de ses limites physiques. Elle peut donc foncer tête baissée vers la mort parce qu'elle se croit invincible. C'est terrible car elle n'a plus ni la réflexion ni le recul pour se contenir.

Phase dépressive => Estime de soi à zéro, grosse apathie, angoisses très fortes et pensées suicidaires. Cela la plonge dans la confusion, elle n'arrive plus à se concentrer sur rien, tout est vue en noir et elle a un découragement très puissant qui la pousse à l'inaction plus qu'autre chose (en clair c'est un marshmallow inutile xD).

En gros on pourrait aussi te faire lancer un dé action à chaque situation stressante et s'il y a échec, on te laisse juge de laquelle des deux attitudes tu veux adopter?

Oui cela me va aussi =) !

De toute façon cette bipolarité est latente, elle s'exprimera surtout pleinement si utilisation de la capacité (de façon inconsciente bien sûr elle choisit pas) ou en situation de gros stress. Sachant qu'elle a pas un esprit faible vu ce qu'elle a vu dans le repère mafieux de son père dans son enfance c'est pas deux gouttes de sang qui l'angoissent x)

Ok,nje mets à jour ce mode de fonctionnement dans le champ "commentaires" de ton profil

Je locke et déplace

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