Sujet: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 18:58
AGRAT GHILSOFI
Agrat Ghilsofi
The daughter of illusion with red lips and curvy hips
Date de Naissance 1er Août 2030 Ville et Pays de Naissance À Naples, en Italie Groupe Actors and Preys Statut d'Etat Civil Célibataire croqueuse d'hommes Métier officiel Etudiante en Arts, sans emploi à côté Orientation Se cambre pour les mains fermes et viriles Penchant Neutre, à corrompre Alias La Belladonna, la cerise du diable Métier officieux Aucun pour l'instant Crimes déjà commis Pas de crimes, mais de nombreux actes immoraux Est-ce que vous êtes déjà recherché? Non AvatarCindy Kimberly Crédit Kitkat
Lors d'un crépuscule particulièrement lent, naquit une miraculée : Agrahat Salome Mona Ghilsofi, dans une des chambres du manoir familial de Naples. Samaël Ghilsofi, un mafieux italien très respecté, gros bonnet du milieu napolitain, se tenait devant la massive porte d'entrée du manoir, une cigarette à la main. Lorsque les cris de douleurs d'Adja, une gitane prostituée qu'il avait eu le malheur de sacrifier à Venus un soir où il était peu lucide, cessèrent, il monta accueillir son quatrième enfant ; sa première fille. Celle qui n'était pas censée naître du fait de nombreux problèmes de santés. Les médecins étaient unanimes à ce sujet, mais cependant, elle était née, et ce, sans problème particulier. C'était bien la seule chose qui pouvait apporter joie et douceur à Samaël, en ces durs temps de crises.
2034
Quatre années après la naissance de l'enfant, Samaël et deux de ses fils furent envoyé aux États-Unis où avait lieu une guerre civile des plus meurtrières. Pendant leurs absences, Adja faisait comprendre à la fillette qu'elle n'était pas censée naître, en la maltraitant et faisant planer sur elle une menace psychologique constante. Agrat en fut sévèrement affectée.
2041
A l'aube de ses 11 ans, Agrat était une enfant très intelligente. Elle commençait à comprendre le monde qui l'entourait, et dans cet environnement où se succédaient les annonces de catastrophes climatiques et de guerres ; elle n'était pas épanouie. Les images des désastres causés par l'Homme la répugnaient et l'absence de son père et de ses frères, qui jusque là lui était insensées, prenaient désormais du sens. L'annonce d'un vaccin anti-cancer l'avait particulièrement affectée puisque sa grand mère paternelle, Lilith la madone du manoir en fut guérie.
2045
A l'école, tout se passait pour le mieux, l'adolescente se révélait être une élève brillante. Elle se passionnait dès lors pour la beauté ; l'art, sous toutes ses formes. C'est tout naturellement qu'elle comptait étudier cela, la jeune fille était une vraie esthète. L'art lui était comme une sorte d’échappatoire, aux actualités plus désastreuses les unes que les autres. Tandis qu'au Manoir, la vie familiale continuait, avec les aléas personnels de ses tantes, oncles, cousins et cousines, et les conflits avec sa mère qui persistaient. Son emprise psychologique entraînait l'adolescente à se défaire, petit à petit, de toute norme morale pour la provoquer. Chose facilitée par l'efflorescence de sa féminité ; ses jambes s'allongeaient et s'affinaient par de hauts escarpins qu'elle commençait à porter, tandis que des courbes délicieuses se dessinaient au niveau de ses hanches, sa poitrine pleine et haute se rehaussait encore plus par de décolletés très aguicheurs. Son visage restait cependant joufflu et rond, témoignant de son jeune âge. Agrat devenait une jeune femme pulpeuse qui attisait les regards et convoitises des hommes ainsi que la jalousie des femmes. Pour s'évader de son monde, qu'elle détestait plus que tout, elle s'adonnait à la danse. L'italienne renouait avec son héritage gitano, elle possédait de vraies qualités de danseuses ; c'était un être raffiné, léger malgré ses formes plantureuses, qui dégage une aura des plus sensuelles lorsqu'elle se déhanche et ondule en rythme sur des mélodies bohémiennes.
2046
Samaël, Malphas et Azaël rentrent au bercail, tous trois amochés tant physiquement et moralement par leurs missions. Ils ont beau tous être surpris par la métamorphose d'Agrat, Azaël est celui qui n'y s'y fera pas. Une passion des plus interdites naît pour sa demi-soeur, dans son cœur ravagé par les malheurs qu'il a traversé. Pour sa longue chevelure de jais, épaisse comme la nuit, pour ses lèvres charnues et ce regard aguicheur. Pour son corps d'italienne et son âme de gitanne. Il la désire du fin fond de son bas-ventre. Agrat sent cette fascination d'Azaël pour elle, mais l'ignore, car elle consacre son temps à l'étude du monde actuel et surtout des mystères de l'île nouvelle, émergée après le passage d'un typhon surnaturel. Samaël, lui, reprend son poste au sein de la mafia. Agrat entend parler des nombreux allers et retours de son père, à Europolis, la ville du futur mais elle se voile la face sur les réelles activités de son père.
2047
Agrat entend parler des arrestations menées par Vampyr, et soupçonne cela d'être la raison pour laquelle Samaël reste en Italie. Entre temps, la passion grandissante d'Azaël ne peut être refoulée plus longtemps. Il embrasse sa demi-sœur à chaque sombre recoin de couloir, des baisers de plus en plus langoureux qui prouvent sa fascination pour elle. Agrat ne le repousse pas, chaque occasion pour provoquer sa mère est saisie, et en son sein, elle ne voit pas le mal à affectionner son demi-frère. Elle est désormais immorale, comme lui a si souvent répété sa mère, elle lui a enfin donné raison sur ce point. Mais la réalité est qu'elle n'en a tout simplement pas conscience, dans ce monde sans foi ni loi. L'intérêt du jeune homme pour cette magnifique créature se traduit par des caresses, de plus en plus longues, des regards, de plus en plus convoitant, comme s'il était envoûté par elle. Agrat pouvait ressentir le bouillonnement de son corps à chaque fois qu'elle l’approchait. Leur relation ambiguë était facilement dissimulable ; le manoir Ghilsofi était tellement grand, tellement gorgé de secrets inavouables, qu'un inceste était quasiment indiscernable. Le vice était présent dans chaque pièce sombre, dans chaque recoin, dans chaque alcôve. Agrat et Azaël ne faisaient que suivre la cadence des Ghilsofi.
2048
Les scandales qui éclatent à quelques centaines de kilomètres du Manoir Ghilsofi y ont une importante résonance. Agrat est abasourdi par ces horribles révélations qui ne font qu'amplifier le mal-être dans lequel elle se trouvait depuis son enfance. Ce monde lui avait l'air invivable. Elle ne supportait plus d'entendre, ou de voir tout ce qui avait un rapport avec l'extérieur, avec ces catastrophes ; ça lui donnait la nausée. Et malgré qu'elle était plus ou moins coupée du monde extérieur depuis son enfance, elle se l'imposait maintenant directement ; elle ne voulait plus rien savoir de ce qui se déroulait dans le monde. Un soir, Azaël, brisant ce qui lui restait d'impératif, prolongea une énième embrassade en une nuit torride ; Agrat dit adieu à sa vertu et ce schéma se répétait dès lors plus souvent qu'ils ne l'auraient voulu, éveillant les soupçons offensés de toute la famille.
2049
Avec la fin de Vampyr, Samaël reprenait les affaires à Europolis en accumulant les allers-retours tandis que le scandale dû à la découverte de leur relation provoqua le départ d'Agrat pour la ville du futur. Elle sera hébergée par une personne précautionneusement choisie par son père, qui lui avait promis de lui rendre visite de temps en temps.
Derrière l'écran
Derrière l'écran
Salut ! Moi c'est Su !. J'ai connu le forum via topsite et je pense qu' il est super original et bien mené. Sur une échelle de présence de 1 à 7, je pense être présent(e) 5/7.
Dernière édition par Agrat Ghilsofi le Mar 1 Mai - 23:32, édité 4 fois
Invité
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 19:02
Agrat Ghilsofi
Agrat Ghilsofi
As clever as the devil and twice as pretty
Un jeu du loup était engagé dans le Manoir Ghilsofi, entre Agrat, Belial et Empusa. Leurs rires résonnaient sur les hauts murs du salon alors qu'ils se chassaient l'un l'autre. Mais les amusements innocents de ces jeunes enfants furent bientôt interrompus par Adja, qui empoigna férocement le bras de la gamine de cinq ans et l'entraîna derrière elle dans une des pièces adjacentes. Il y avait beaucoup de pièces vides dans la Spina Nera, les Ghilsofi étaient certes nombreux mais l'habitation familiale était gigantesque, car il fut un temps où la famille l'était encore plus. De plus il maniero Ghilsofi servait de quartier général à la mafia napolitaine, la Camorra, organisation dans laquelle la famille a toujours occupé un grade important.
Les cris de la gamine se firent bientôt entendre, ainsi que des bruits de coups et des cris hystériques de la mère. Toute la famille savait ce qu'il se passait dans ces pièces sinistres, mais aucun ne s'interposait. Après tout, les Ghilsofi étaient connus pour leur cruauté et leur désinvolture. La petite s'en remettrait. Elle s'en remettait toujours. Mais ce qu'ils ne comprenaient pas, c'est qu'une fois les bleus et traces de coupures disparues, il restait des séquelles psychologique qui se transformeraient bientôt en névrose et masochisme chez la petite.
Adja était une femme dure et rigide, elle ne souriait presque jamais. En tout cas, Agrat ne se souvenait pas l'avoir déjà vu sourire. Et au moindre mot de travers, à la moindre bêtise c'était la sanction, une punition qu'elle ne pouvait oublier. Mais souvent, les coups et torture n'avaient pas de raison. Souvent, c'était le fruit du trouble mental de la bohémienne, un mal que tout le monde devinait mais que personne ne disait. Adja n'avait rien des qualités présumées des bohémiennes; ni douceur, ni gentillesse. Elle n'avait plus cette joie de vivre que possédaient les gens du voyage, son passé avait tout brisé. Les hommes qui étaient entrés en elle avaient tout saccagés.
Les dîners familiaux de chaque soir devenaient un calvaire en l'absence de l'homme fort de la famille, Samaël. Lilith, la madone de la maison, pure napolitaine d'un âge avancé mais bien en chair, s'en prenait souvent à Adja. Tout le monde s'en prenait à elle, la "pute gitane". Le Manoir, en présence majoritairement féminine, était invivable, plus que d'habitude. Les hommes étant à la guerre, les Ghilsofia, toutes des vipères, s’entre-tuaient à coup de sous-entendus et de critiques. Elles se disputaient sans arrêt, toujours à la limite des coups et c'est seulement là que la grand mère décidait d'intervenir; pour calmer un jeu qu'elle avait elle même commencé. Lilith Ghilsofi était la plus intelligente des femmes du Manoir, une ruse, une fourberie, un vice sans égal; voilà pourquoi elle guidait les principales missions de la mafia. De nombreuses rancœurs étaient entretenues dans les cœurs de chacun. L'absence des hommes laissait le champ libre aux femmes, elles exécutaient leurs nombreux vices. C'est dans cet environnement malsain que la Belladonna fut élevée.
Agrat se souvenait qu'un jour, Adja et Lamia, première femme de Samaël et mère de ses trois fils, se disputaient violemment. Elles en étaient arrivées aux mains et au poignard pour la bohémienne. Lamia avait insulté sa concubine de "pute gitane", après une violente discussion au sujet de la Camorra. Depuis ce jour, et même bien avant cela, les deux femmes ne pouvaient discuter sans cracher leur venin. La Belladonna s'était toujours demandé laquelle tuerait l'autre en premier.
Le retour des mâles à la Spina Nera semblait apaiser les relations, le business reprenait de plus belle. Les réunions se multipliait, avec pour seule femme admise Lilith, bras droit de son fils Samaël. Rien n'avait changé pour Samaël et il n'avait toujours pas le temps de s'occuper des affaires de bonnes femmes du Manoir, qui avaient d'ailleurs empirées depuis que ses deux femmes savaient qu'il invitait des filles de joies au Manoir. Samaël très occupé après son retour, n'avait quasiment plus de temps pour sa fille. Mais il restait la seule personne qui lui apportait un peu d'amour à elle et à son regard vide d'expression. La jeune fille ne supportait plus les disputes fréquentes entre les deux femmes de son père, surtout qu'elle savait la véritable raison de toute cette haine. Un énième secret, au Manoir des Ghilsofi.
Agrat devenait consciente des changements qu'elle avait subi pendant l'adolescence. Elle était surtout consciente de l'effet qu'avaient ces changements sur les hommes; elle s'habillait donc en conséquence. Ses tenues plus affriolantes les unes que les autres, rendaient les hommes fous, en particulier les associés de son père qui passaient au Manoir. Elle s'amusait à les accueillir, en se pavanant devant eux, la jupe à deux doigts de dévoiler plus que ce qu'il ne faudrait. Peu importe leur âge, elle savourait leur regards langoureux sur ses courbes, elle adorait leur mots qui dégoulinaient d'envie. Agrat avait décidé de s'émanciper de sa mère, dans tous les sens du terme. Elle faisait tourner le monde autour d'elle en battant des cils ou décroisant les jambes. Son nez fin et légèrement retroussé s'ajoutait à sa "pseudo" innocence, et ses lèvres, qu'elle sublimait de rouge étaient pulpeuses à souhait avec un arc de cupidon quasiment pas défini. Elle allumait, mais n’éteignait jamais. Les hommes avaient beau être excités, les femmes ne la supportaient bien évidemment pas.
Mais la seule chose qui lui important désormais était le regard de son frère sur elle, qui avait changer, elle le sentait. Les embrassades, les attouchements se firent naturellement. S'ensuivit l'acte lui-même. Depuis toujours, cela avait été eux deux contre tous les autres, et aujourd'hui plus que jamais. Elle aurait dût se sentir bizarre, honteuse, mais cela n'avait pas été le cas. En réalité, toute morale s'était perdue lors de cette relation. Plus qu'immorale, elle était devenue amorale. Elle ne connaissait plus de norme, il n'y avait plus de règle qui tienne dans cette foutue demeure où tout était bafoué. Cette merveilleuse nuit avait éveillée ses sens, elle goûtait dès lors aux plaisirs charnels avec différents partenaires. Mais sa relation avec Azaël était différente, c'était leur secret, un de plus dans il maniero Ghilsofi.
Mais après presque un an de relation, tout cela se sût. Comment ? Elle ne saurait le dire... Mais ce n'était pas le premier scandale qui éclatait chez les Ghilsofi, et ce ne serait pas le dernier non plus. Car en vérité, malgré l'apparence parfaite qu'ils dégageaient tous, il se cachaient des secrets indicibles à chaque recoin du château. Il s'en était passées des choses épouvantables, dans les chambres au plafonds sombres sur lesquels résonnaient les cris et où des tirs de pistolets étaient masqués par les murs épais. Il s'en était vu des scènes atroces dans les longs couloirs aux tapis qui étouffaient le claquement des escarpins hors de prix. Il s'en était dit des choses à glacer le sang, par les lèvres rouges écarlates des Ghilsofia... Dans ce manoir, rien n'était comme on le pensait, il y avait comme une sorte de tare génétique dans le sang de chacun, une malédiction. La famille expulsait rapidement Agrat à Europolis, la ville dite du futur, chez un collègue des Ghilsofi et de la mafia. Tout cela pour la tenir loin d'Azaël, pour protéger un semblant d'honneur, qui depuis bien longtemps, n'était plus. Elle était devenue une vrai belladonna; un véritable poison.
La Belladonna <span class="Gp_Actors"> • <a href="/u38"><span class="Gp_Actors">Agrat Ghilsofi</span></a></span> (<a href="Ne rien mettre ici. L ajout se fera par les modos du forum">Avis de recherche</a></span>
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 19:48
Mais !
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 20:17
Bienvenue à la croqueuse ! Bon courage pour ta fiche ^^
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 20:26
Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche :p
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Invité
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 21:12
Bienvenue comparse italienne Bon courage pour ta fichounette
Invité
Invité
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 21:38
Bienvenue par ici !
Hâte de lire la fin de ta fiche, cette demoiselle ne semble pas avoir eu une vie très tranquille
Invité
Invité
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Jeu 12 Avr - 21:53
Oh, un personnage lié à la mafia, voilà qui est intéressant. Bienvenue !
Invité
Invité
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Ven 13 Avr - 21:12
Hey,
Merci à tous pour cet accueil On se retrouve en zone RP ?
Xoxo
Master of Chaos
Admin
Messages : 2217
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Ven 13 Avr - 22:01
Très bonne fiche, rien à redire
Tu évoques assez peu les événements d'Europolis mais comme tu t'y inclues tout juste, ça passe ! Je te valide donc
Master of Chaos
Admin
Messages : 2217
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Ven 13 Avr - 22:06
Félicitations!
Félicitations!
Tu es validé(e) !
Pfiou, tu l'as finie, ta fiche, et c'était top!
Maintenant, tu peux te lancer dans le jeu. Pour le faire dans de bonnes conditions, nous te recommandons de suivre ces quelques liens:
Si tu commences le jeu en étant recherché, tu peux personnaliser ton avis de recherche ! Tu peux personnaliser ton profil avec un rang . Si tu as déjà contacté des membres ou vu avec ceux-ci avant ta validation pour rejoindre un groupe , tu peux poster dans ce sujet pour nous le signaler. Si tu veux proposer des pré-liens et scénarios liés à ton personnage, tu peux le faire dans ce sujet. N'oublie pas aussi de faire un tour du côté des animations du forum , notamment la mission votes!
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Bon jeu, amigo !
Kate Ward
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Ven 13 Avr - 22:09
Bienvenue !!!
Cassiopeia Fontaine
N'aies pas peur pauvre âme en perdition, décides-toi, fais ton choix !
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Sam 14 Avr - 13:59
Bienvenue sur le forum Agrat !
Master of Chaos
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Messages : 2217
Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion Sam 1 Sep - 13:04
je locke et déplace
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Sujet: Re: Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion
Agrat Ghilsofi, the daughter of illusion
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