Sujet: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 5 Avr - 23:22
Stanislas Leskov
Aaron O'Leary
The sound of iron shocks is stuck in my head, the thunder of the drums dictates the rhythm of the falls, the number of deads, the rising of the horns, ahead
Date de Naissance Un vendredi 6 avril en 2012. Ville et Pays de Naissance Tchita, Russie (Sibérie) Groupe Freakshow Capacité et Malus Altération de l’apparence : Stan peut modifier son apparence et sa voix à sa guise à condition qu’il ait déjà vu et entendu la personne dont il souhaite investir l’identité. La transformation peut durer de 15 à 30 minutes, selon son état d’ébriété. Attention qu’il ne peut se transformer en animal ou en enfant. Cela lui demanderait trop d’effort. Les expériences dont il a été la victime ont altéré ses molécules. Ceci étant, s’il en a le contrôle – et outre son alcoolisme notoire – il a contracté un lupus érythémateux systémique de la peau. Son système immunitaire rejette les tissus de sa peau. Il est donc forcé dépendre des immunodépresseurs, ce qui coûte un rein ou deux bras : au choix. Statut d'Etat Civil Célibataire Métier officiel Détective privé Orientation Hétérosexuel Penchant (Chaotique) neutre. Il penche doucement vers le côté obscur de la force. Alias Aaron O'Leary. C'est le nom par lequel il est connu de tout. Son faussaire l'a utilisé pour réaliser ses faux-papiers. Il lui sert de couverture. Métier officieux Il vend des informations aux plus offrants : flics, journalistes... Crimes déjà commis Hormis ses crimes de guerre qui lui provoque nombres de cauchemars, il ne vole que des informations. Oh, bien sûr, il a déserté, ce qui lui vaut d'être recherché des Russes et il s'est rendu coupable de faux et usages de faux. Liberté oblige. Est-ce que vous êtes déjà recherché? Non. Pas à Europolis en tout cas. Avatar Milo Ventimiglia Crédit Lux Aeterna
Mois de ma naissance dans une famille modeste qui joint les deux bouts péniblement, mais qui s'en sort à grand renfort de soupe et de Vodka. En Russie, l'alcool, ça coupe l'appétit et ça tient chaud
17 février 2020
Je me plaisais en tant que fils unique. J'avais toute l'attention de mes parents et je n'étais pas forcé de prêter mes jouets. Je n'en avais déjà pas beaucoup, j'entendais bien être le seul à jouir de leur distraction. Le destin m'a cependant apporté un frère et une soeur. Je boudai tout au long de la grossesse. J'appris néanmoins à les aimer, tombant amoureux de leur bouille pouponne, de leurs grands yeux clairs. Ce jour-là, je me promis de veiller sur eux et j'entrepris, encore aujourd'hui, de ne pas contredire mes serments.
2026
Les jumeaux tombent malades. Une histoire de grippe particulièrement coriace, difficile à soigner... Mes parents ont tout tenté pour les sauver. Ce centre, où ils furent enfermés et qui promettaient de les guérir, ne m’inspirait pas confiance. Je trouvais les médecins étranges, les infirmières cachottières, mais mes parents ne prêtèrent aucune attention à mes pressentiments. Pas étonnant. J’étais à peine âgé de dix ans.
Entre 2030 et 2031
Dix-huit ans. Je m’inscris à l’université dans l’espoir de devenir avocat. J’en rêve depuis l’enfance. J’imagine que c’est la clé qui nous permettra, à ma famille et moi, de vivre plus décemment. On peine parfois à payer certaines factures. Un soir, j’ai même entendu ma mère pleurer et je me rappelle parfaitement les émotions qui me traversèrent l’esprit. J’entrepris rapidement de me trouver un job d’appoint, histoire de me rendre utile. L’année suivante, exténué par mes horaires, mes études et la vie à la maison, j’abandonne mes rêves et mes ambitions. Je ne serai jamais avocat. Au mieux, j’assemblerai des armes dans une usine qui travaille à la chaîne jusqu’à la fin de ma vie. C’est abrutissant, indécent et je renonce. Je cherche LA solution pour cumuler le tout. Ma seule option : l'armée. Je m'engage parce que je sais tenir mes promesses envers moi et envers mes familles également.
2035
Je priai souvent pour que la Russie n'entre jamais en guerre. Je ne priai pas assez fort. Armée de Terre. Première ligne, parce que je suis robuste. Moi, j'ai plutôt l'impression d'être de la chair à canon.
2040
Il semblerait que ma chance soit insolente. Que je sois restée en vie aussi longtemps relèverait de l'exploit. Je suis une force de la nature et, comme la situation est désespérée, je suis recruté pour faire partie d'un grand projet, parce qu'il faut renforcé les soldats. C'est le jour de la naissance d'un monstre.
Fin 2042
Mon cas n'évolue pas comme il l'espérait. Je ne suis pas plus endurant ou plus fort. Non. J'ai plutôt tout d'un futur espion. Je refuse l'idée et je m'enfuis avant mon transfert de la clinique. Je déserte avec deux amis, au prix de grands sacrifices.
De 2043 à 2045
Ici commence mon exode. Je fuis, je me cache, je suis un fugitif. Je me déteste, mais j'avance. Je trouve un faussaire grâce à quelques services rendus. J'embarque pour Europolis.
2046
Après une année de galère, de remise en question, de symptômes étranges - post-traumatique ou traitement - je décide de vivre à nouveau, dans l'ombre, malheureux, mais dignement. Je me fais rencarder par un chasseur de primes. Je lui fournis les informations, il me rémunère. Mon réseau s'étend peu à peu. Si seulement je dormais mieux la nuit...
Derrière l'écran
Derrière l'écran
Salut ! Moi c'est Cinzia mais appelez moi Salem. J'ai connu le forum via le petite frère (I love you. Suis trop heureuse de te retrouver) et je pense que Je suis impressionnée, par le travail fourni, par l'imagination, par la cohérence, par le système novateur et par cette impression d'être en plein dans un JDR sur table.. Sur une échelle de présence de 1 à 7, je pense être présent(e) 5/7 souvent plus, mais on ne sait jamais. .
Dernière édition par Stanislas Leskov le Mar 10 Avr - 22:29, édité 10 fois
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 5 Avr - 23:23
Stanislas Leskov
This deadly burst of snow is burning my hands, I’m frozen to the bones, I am A million mile from home, I’m walking away I can’t remind your eyes, your face
« Je ne comprends pas. » me lança-t-elle depuis une chaise autour d’une table ronde en bois de pin qui trône au milieu du séjour. Il fait office de salon, salle à manger, cuisine et chambre à coucher, le tout sur 30 m². Moi, avachi dans un sofa de cuir craqué et élimé, je cuve ma vodka, les cadavres en verre à mes pieds et la tête renversée sur le dossier. « Stan, ohhh, je te parle, tu pourrais me regarder quand tu marmonnes » m’invective-t-elle véritablement agacée par mes cuites à répétition et mes discours obscurs à ses yeux. Pour moi, ils sont limpides et je ne me rends pas compte que, la bouche pâteuse, je n’articule rien de compréhensible. Pour être tout à fait exact, je n’articule plus du tout, à moins de puiser dans ce qu’il me reste d’énergie. Je l’entamai dans un effort pour redresser la tête, la maintenir et affronter les pupilles coléreuses de mon interlocutrice. Lubia, elle m’accompagne depuis mon premier jour à Europolis. Son sol à peine foulé que je tombais littéralement sur cette jolie brune au visage atypique. Elle fuyait la victime qu’elle détroussa un peu plus tôt. Son regard me lançait des appels à l’aide et si, à l’époque, je m’étais juré de ne pas attirer l’attention sur moi avant d’être plus ou moins installé, j’intervins sans demander mon reste. Que réclamer ? Son maigre butin ? Elle paraissait dans l’ennui et je ne suis pas dénué de scrupule. Il s’avéra, par la suite, que la jeune femme travaillait comme balayeuse dans une grande entreprise, mais ce n’était pas le plus important. Non ! Elle était surtout douée d’un talent pour l’informatique. Elle était capable de tout infiltrer, tout craquer, tout, sans exception. C’est elle qui retrouva la trace de mes parents. Ils sont en vie et, si je ne les contacte pas, à cause de ma honte, Lubia vérifie souvent qu’il ne manque de rien, qu’ils ne sont pas en danger. Garder ma famille à l’œil était crucial. Sauf que je passais bien d’en parler. Je regrettai aussitôt d’avoir prononcé ce « quoi » qui amena mon pirate vers la question délicate. Je fus tenté de me laisser sombrer dans un profond sommeil. Mieux, un coma éthylique. M’étouffer dans ma propre gerbe, ne plus revoir la lumière du jour, la mort … elle me paraissait si douce parfois. J’oublierai mes crimes et les atrocités de la guerre. Je dormirais à nouveau paisiblement, inconscient, ne ressentant et n’existant que dans le néant. Je n’aurais plus à revivre, mes longues nuits de sobriété – quoiqu’elles soient rares – les horreurs commises pour sauver ma peau. Abattre, piler, vendre mes compagnons de galère pour éloigner de moi le danger, se planquer pendant le combat pour ne pas crever d’une balle dans la tête… tous ces souvenirs me rendent fou, parfois paranoïaque. Un soir alors que j’avais bien picolé, j’eus l’impression étrange d’une présence belliqueuse et rancunière, là, dans mon appartement miteux, vide de toute âme, sauf celle qui répétait comme un péan tout le mal : « Sois maudit. SOIS MAUDIT, Stanislas. » Était-ce des fantômes ? Le fruit pourri de mon imagination ? Je ne le saurai sans doute jamais. En revanche, je me rappelle parfaitement la chair de poule, la peur, les sueurs froides et l’insomnie. « Ça y est, tu recommences. Tu n’as pas idéé comme tu me fatigues quand tu fais ça. » « Je sais, je suis désolé.» répliquais-je à des kilomètres d'elle.
Si seulement elle savait ce qui me traversait l’esprit sur le moment ? Serait-elle toujours à mes côtés ? L'alcool aidant, j’avais l’impression de sentir à nouveau la faim, la soif, le froid à cause de la pluie. Je me mis à grelotter sans raison. Je crois entendre les rats et les bombardements. Je me souviens avoir songé à ce qu’il adviendrait de moi si un projectile tombait juste là, sur nous. Y perdrais-je une jambe ? Un bras ? La vie ? À l’époque, j’attendais mon tour qui viendrait fatalement. C’est l’un des premiers traumatismes de la guerre. C’est celui qui change ce que nous sommes, qui nous transforme. J’étais agneau avant de prendre part au combat et je deviens peu à peu un loup, un loup capable de manger ses semblables pour sa survie. Qui pour m’en empêcher ? Je vendis mon âme au Diable le jour où j’abattis d’une balle dans la tête d’un gamin d’à peine dix-huit ans, envoyé sur le champ de bataille sans entraînement, par les plus hauts gradés. Il était de la chair canon. J’ai joué de chance et, sans compassion, je tirai sans hésiter malgré son regard apeuré et surpris par ma présence. Avait-il seulement fait son service militaire, ce gosse ? J’en doutais, mais je n’avais pas le choix. Il ne portait pas le bon uniforme. Quant à moi, je vendis mon âme au Diable ce jour-là. Rien n’était plus atroce, pas même tabasser une femme – a priori, une civile – sous prétexte que son mari était officier du camp adverse et qu'elle détenait peut-être des informations capitales. Les ordres étaient clairs : les lui arracher, par la force, par l’intimidation… tous les moyens seraient bons. D’aucuns ne lésinèrent, parce qu’il était de bon ton de se montrer fort, de suivre la meute, de redevenir un animal. Je chassai de mon esprit quelques images de ce drame – il se solda sur le meurtre sauvage de cette pauvre fille – au profit d’autres non plus, joyeux. Le choix du plus chanceux pour rejoindre un projet qui le dépasse, accepter de me porter volontaire pour devenir un soldat d’élite, saisir plus tard – trop tard – qu’il ne s’agit pas réellement d’un entraînement spécial, non, mais d’une expérience scientifique douteuse menée dans une clinique improvisée au cœur des steppes de Russie.
Des médecins m’injectèrent toute une série de produits provoquant des fièvres, des diarrhées, la déshydratation parfois. Un soir, une douleur aiguë irradia chaque parcelle de ma peau et, devant un miroir piqueté par l’usure, je vis d’abord ma mère, puis mon père, des amis, des ennemis… J’étais mille et un visage et, durant quelques mois, je manquai d’oublier à quoi je ressemblais réellement. « Il commence à se stabiliser. » commentait quelques fois le personnel médical. « Il pourra retourner au front. Il sera notre meilleur espion. » ajouta l’un d’entre eux tandis que je retrouvais la maîtrise de mon corps… La bonne blague. Il en était hors de question. Je tuai un infirmier, enfilé son costume – dans tous les sens du terme – et je m’enfuis. Je désertais l’armée. Je renonçais à mon honneur, à mon pays, à la fierté de mes parents. Je me privais du plaisir des grands hommes qui bombent le torse lorsqu’ils se mirent dans une glace. Moi, je détournerai les yeux face à mon reflet. Je me jugerai détestable et ne pas être le seul à l’initiative de cet abandon de poste n’était qu’une maigre consolation. Vassili et Anton entreprirent de me suivre, à moins que ce fût l’inverse ? Je ne savais plus tôt. Mais, qu’à cela ne tienne, ce n’était pas le plus important à retenir. Durant notre exode, l’un d’eux céda à la panique, parce qu’il avait une femme, des enfants et que la cavale ne lui permettrait pas de les serrer à nouveau contre lui. Pauvre hère. Je me jurai souvent que lui briser la nuque était un noble geste. Dans les faits, je craignais surtout qu’il nous balance pour des chimères – je ne misais pas un kopek sur la survie de ses proches – dès que l’armée le choperait. Le laisser partir comportait des risques que je refusais de prendre. Anton, choqué par mon acte, se méfia de moi du reste de notre périple et, s’il ne me quitta pas – pas même aujourd’hui – ce fut moins grâce à sa peur qu’à sa roublardise. Il nous dénicha un faussaire qui nous fabriqua des papiers en échange d’un service. Je n’étais plus à un meurtre près désormais. La liberté, elle n’a pas de prix, et moi, j’en rêvais. Je n’aspirais qu’à la sérénité dont je serais à jamais dénué sans le réaliser vraiment à l’époque. Ainsi, nous fîmes cap vers Europolis, cette cité pleine d’espoir qui sentait bon le renouveau.
Elle tint toutes ces promesses. Je rencontrai ma partenaire dans une petite affaire assez lucrative pour vivre décemment. Détective privé. C’est honnête. Nous faisons par ailleurs une excellente équipe bien que Lubia s’inquiète. Elle n’aime pas les gens avec lesquels il m’arrive parfois de travailler. Ils sont d’univers variés, mais sont dotés d’un même point commun : ce sont tous des criminels. Suis-je pourtant peu fréquentable ? Je m’efforce d’être à nouveau quelqu’un de bien malgré mes cadavres enfermés dans mon placard. Je veille sur mon frère et ma sœur après avoir appris d’une bouche alliée qu’ils étaient en ville. Je croisai mon visage – le vrai – à plusieurs reprises dans Europolis. Il me cherche activement, mais je ne peux décemment me présentai à eux comme un alcoolique, malade d’un lupus, au physique incertain et lourd de scrupules. C’est impossible. Mais, je les tiens à l’œil. Je m’arrange pour les croiser, leur parler, dans l’anonymat le plus total. « Putain, tu me saoules. Pourquoi tu m’as fait venir si c’est pour m’ignorer. C’est bon, je me barre. » Je vis ma belle brune se levai, prête à me fuguer, et je la suppliai pour qu’elle reste, l’attrapant par le poignet. Je fanfaronne à prétendre ne pas craindre la mort, mais c’est du cinéma. « S’il te plaît, on discutera demain… » De tout ce qu’elle voudrait. Elle me jaugea. Ses yeux d’acier me refroidirent, je baissai les miens, saisis sa main et la tirai vers moi. « S’il te plaît. » Elle céda, se blottit contre moi et je finis par m’endormir, non sans l’avoir remercié d’être là et de tout ce qu’elle fait pour moi.
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 5 Avr - 23:28
Bienvenue ici ! Bon courage pour ta fiche
Kate Ward
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 5 Avr - 23:31
Bienvenue !!!!
J'en connais qui vont être contents de retrouver leur frère ainé ! x)
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Ven 6 Avr - 0:23
Bienvenue frérooooot !
Je sais parfaitement qui a tendu la perche pour venir ici *poke Timofey*
Hâte de voir ce que tu feras de ce personnage, surtout qu'on a laissé beaucoup de marge de manoeuvre !
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Ven 6 Avr - 0:49
Riley : J'ai le sentiment d'avoir déjà vu ton avatar. Gotham, c'est possible ?
Kate : Je kiffe cette nana. Elle est tellement géniale dans THE 100
Yulia : Je ne vois absolument pas de quoi tu parles, mais absolument pas
Sinon, j'ai une petite question. Magnétisme, c'est au sens propre de la définition ? Attirer et contrôle les matériaux ferreux genre Magneto ? Si c'est ça, j'avais pensé à un malus qui pourrait "contre-balancer" avec le caractère "gros bill" du pouvoir. J'envisage Stan comme un être plein de faiblesse, qui n'est en rien un surhomme, d'autant qu'il ne digère pas son statut. Du coup, est-ce qu'on pourrait considérer qu'il souffre d'anémie ? Que lorsqu'il attire le fer à lui, il attire également celui de son propre sang avec les conséquences que ça peut entraîner en baston Je garderai également l'altération du goût et de l'odorat. ça me plait que tout ait désormais un goût de fer. Du moins, si tout cela est possible... Merci de prendre le temps de me lire en tout cas.
Christopher Hart
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Ven 6 Avr - 6:42
Bienvenue sur AMF ! C'est chouette que tu te sois inscrit avec un scénario
Surtout celui-ci, Yulia va enfin lâcher la grappe à Chris :!:
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Ven 6 Avr - 14:45
Yep ! C'est bien Gotham
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Ven 6 Avr - 19:19
BIIIEEENNVVVVEEENNUUUUEEEEE !!!!!
Je suis tellement heureuse de pouvoir enfin retrouver ta plume (pistoiaussi) <3<3<3
Bon courage pour la fiche en tout cas, il me tarde de voir ce que tu vas en faire *___*
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Sam 7 Avr - 22:03
Merci à vous tous..... Je suis contente d'être là. Pour information, je ne suis pas là demain, mais ma fiche sera finie dans les temps. Lundi normalement. Voire mardi si jamais j'avais un pépin quelconque.... :flower: :flower:
Dossier Central Equipe: Aucune Points de Baston: 7+1 Points de Marave: 4
Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Mer 11 Avr - 23:55
Me voilà!
Tu évoques a priori assez peu d'éléments dans ta fiche mais tout tourne bien, quelques petites fautes mais rien qui gâche la lecture! Je vois que le frangin a déjà donné son accord, alors show must go on !
Pour ton pouvoir ça me va dans l'idée, tu vois toutefois comment la chose concrètement? Tu peux tout changer, ou seulement ton apparence "globale" comme la couleur des cheveux, couleur de la peau, ou carrément tout dans le détail? Et pour le malus concrètement aussi, quels sont les effets si tu n'as pas tes médocs? A court terme, je veux dire
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 12 Avr - 0:21
Alors, pour le pouvoir, je l'envisageais un peu comme celui de Mystic, mais quand je dis un demi-heure, dans les faits, ça n'arrive jamais. On va pas se mentir, il est trop souvent bourré pour être totalement efficace pour le moment. Il ne peut pas se transformer en adolescente, par exemple, à cause de sa masse. Ceci étant, ça tend à évoluer. Sinon, ça n'a aucun intérêt. Alors, le problème du lupus à court terme : éruption cutanée, douleur articulaire violente (quand c'est les genoux, tu tombes. Les mains, tu lâches tout. Enfin, tu situes), la vue se trouble... Au pis, tu peux faire une trombose, un arrêt cardiaque, tes reins qui arrêtent de fonctionner.
Je dois faire un choix ou je dois laisser le dés décidés en fonction de la liste ci-dessus ?
Dossier Central Equipe: Aucune Points de Baston: 7+1 Points de Marave: 4
Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 12 Avr - 9:34
Pour pas que ça soit trop pété en jeu, j'aurais bien vu un rien de "limites" à ses transformations, genre la conservation de sa taille d'origine par exemple, ou ne pas prendre un "gabarit" trop éloigné. Ca rejoindrait la contrainte que tu évoquais.
Pour le malus je te propose quelque chose de plus simple; tu peux tester en début de rp où il y a de la bagarre avec un dé action. Si ça marche, tu fais ce que tu veux, si ça échoue, tu préfères quoi comme la pathologie a l'air super diverse? Un malus en points de baston (de vie?) ?
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Sujet: Re: Stanislas | I'm riding up the heights of shame Jeu 12 Avr - 11:13
Ecoute, ça marche pour les limites du pouvoir. En prime, ça me donnera une marche de manoeuvre pour l'évolution et, compte tenu de la diversité de la pathologie, elle évoluera en même temps que le pouvoir pour conserver un équilibre. Maintenant, compte tenu que c'est déjà un fameux gabarit, pour simplifier, on peut considérer qu'il ne peut devenir que des "hommes" qui n'ont pas la taille d'un jockey de course. Pas de femme, à moins qu'elle soit plutôt costaude (sous entendu ronde..) ça marche pour toi ?
Par exemple, pour l'éruption cutanée, ça n'est embêtant que s'il est en train de fouiller un bureau avec la secrétaire tout prêt par exemple, parce que fatalement, ça va annuler le pouvoir. Du coup, je pense que je jonglerai, pour le moment, entre l'éruption cutanée, les articulations ou la vue, en fonction de mon imagination et de la cohérence (oui, oui, j'ai bien épluché tout le forum. Il vous suffit de me faire confiance, mais étant donné la construction fragile du personnage, plus il s'en prend plein la tronche, mieux je me sentirai ).
Pour le malus, j'ai envie de dire que le plus logique, ce serait un point de baston. Quand ta vue se trouble ou que tu ne sais plus tenir un truc dans la main (par exemple), tu es tout de suite mins efficace, mais tu peux monter à 2 si tu veux Je laisse seul juge